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Bonjour,
Je m'appelle Jeanne et suis étudiante en 3ème année de Langues Etrangères Appliquées, spécialisation traduction et interprétariat à la Sorbonne, sur le point d'être diplômée.
Je maîtrise parfaitement tous les outils et différentes méthodes de traduction.
Je peux traduire des textes en italien ou en anglais vers le français, ou du français vers l'anglais.
Je suis rigoureuse, assez efficace ; je peux vous fournir des exemples de traductions sur demande.
Si vous avez de plus amples questions, n'hésitez pas à me contacter.
Quando la moda incontra l’arte
7 luglio 2016
Il legame tra moda e arte è costellato da innumerevoli esempi di successo e di ispirazione reciproca tra i due mondi. Il modo più classico e più diffuso per concretizzare tale vincolo è rappresentato dalla stampa e trasposizione di un’opera già bidimensionale come la tela di un quadro nella riproduzione della stessa come stampa su tessuto. Tutte le più famose opere sono state riprodotte nella storia, dalle storiche stampe Mondrian per Yves Saint Laurent alle più attuali di Keith Haring per Tommy Hilfigher.
In realtà non c’è nemmeno bisogno di essere un’artista famoso, perché in fondo ogni giovane illustratore che cede i propri diritti per diffondere attraverso una t-shirt i propri disegni è esattamente come un graffito Stephen Sprouse serigrafato sul monogram di Louis Vuitton o per essere ancora più attuali come i graffiti che tappezzavano l’ultima sfilata di Gucci a cura dell’artista GucciGhost (vero nome Trevor Andrew).
Trevor è stato selezionato dal direttore creative Alessandro Michele come membro ufficiale dell’ufficio stile del brand proprio dove aver scoperto la sua rivisitazione della doppia G nei suoi murales per strada.
Il connubio tra moda e arte ha però superato la dimensione del “semplice” dipinto, focalizzando sull’arte made in Italy, ma espressa tramite architetture e mosaici, è il progetto “Art of Italy” di Oviesse.
I monumenti sono i protagonisti del progetto, i pattern delle loro geometrie sono diventati un tutt’uno con i modelli disegnati per uomo e donna dai designer di Oviesse, linee semplici dai tagli particolari, non sono semplici t-shirt stampate, sono tessuti fluttuanti che ricreano il movimento architettonico del Museo Archeologico A. Salinas di Palermo piuttosto che i preziosi mosaici della cattedrale di Salerno.
Non è l’unica notizia recente riguardante la fusione e la contaminazioni di questi due mondi creativi, a Roma per la seconda volta infatti una maison del lusso Italiana si occupa di investire i propri introiti nella ricostruzione e ristrutturazione di un importante monumento della capitale.
Dopo Fendi e la fontana di Trevi riaperta al pubblico alla fine del 2015, è la volta di Tod’s e del famoso investimento di cui si parla da anni riguardo al restauro del Colosseo, ben 25 milioni di euro per far tornare a risplendere le facciate dell’Anfiteatro Flavio, ridando ai romani la vera Grande Bellezza.
Traduction vers le français :
Quand la Mode rencontre l’Art
7 juillet 2016
La Mode et l’Art sont deux domaines intrinsèquement liés : l’exemple le plus parlant de ce lien est l’utilisation d’oeuvres d’art pour la conception d’imprimés textiles.
De nombreuses oeuvres d’art ayant marqué l’Histoire ont ainsi été utilisées par des créateurs, mettant en lumière avec succès le lien entre Mode et Art. Cela a commencé avec les célèbres compositions de Mondrian, reprises par Yves Saint-Laurent, jusqu’à plus récemment les oeuvres de Keith Haring par Tommy Hilfigher
En réalité, de nos jours, il n’est pas nécessaire d’être particulièrement connu : chaque jeune artiste peut aujourd’hui vendre les droits de ses création pour les voir imprimées sur des t-shirts. C’est le cas de Stephen Sprouse dont les dessins ont été sérigraphiés sur le monogramme Louis Vuitton ; ou encore plus récemment les designs de GucciGhost (de son vrai nom Trevor Andrew), omniprésents lors du dernier défilé Gucci.
Trevor a été sélectionné par le directeur artistique Alessandro Michele comme membre officiel du bureau de la création de la marque après avoir découvert son travail de revisite du “double G” en tant que street-artiste.
Cependant, la Mode ne fait plus lien avec l’Art uniquement à travers les créations picturales, désormais l’architecture et la mosaïque “Made in Italy” sont une source d’inspiration : c’est la direction que suit le projet “Art of Italy” d’Oviesse.
Les monuments sont au coeur de ce projet. Les designers d’Oviesse ont cherché à recréer les mouvements architecturaux des monuments comme le Musée Archéologique A. Salinas de Palerme, ainsi que l’esthétique de leurs mosaïques, comme celles de la cathédrale de Salerne, à travers les motifs de leurs vêtements aux lignes simples, coupes originales et matières fluides.
Récemment, nous avons pu observer de nouvelles preuves du lien entre Mode et Art. En effet, pour la seconde fois à Rome, une maison renommée de la haute-couture s’est occupée d’investir une partie de ses bénéfices dans la reconstruction et restructuration d’un important monument de la capitale italienne.
Après Fendi et la Fontaine de Trévi, réouverte au public fin 2015, c’est au tour de Tod’s, dont la démarche envers le Colisée a été largement médiatisée ces dernières années, d’investir pas moins de 25 millions d’euros pour faire resplendir de nouveau la façade de l’amphithéâtre Flavio et rendre aux romains la “Grande Bellezza”.
Voici un exemple de traduction:
UNE HISTOIRE ÉCRITE AVEC PASSION
LES ORIGINES
L’histoire de ce qui est aujourd’hui l’une des principales liqueurs traditionnelles italiennes commence en 1885, lorsque Stanislao Cobianchi décida de fonder une petite entreprise de spiritueux, allant contre la volonté de sa famille qui le destinait à une carrière ecclésiastique.
Dans un premier temps, il produisit des liqueurs aujourd’hui tombées dans l’oubli comme le ratafià, l’alchermes, l’arquebuse, le persico, le latte di vecchia et le rosolio.
LE NOM
Son expérience des herbes aromatiques l’amène à créer un produit nouveau : une liqueur délicate à la robe ambrée, qui deviendra la spécialité de sa maison.
Elle fut nommée Amaro Montenegro en hommage à Elena Petrovich Niegos, Princesse du Monténégro et future Reine d’Italie.
UNE FORME UNIQUE
Afin de conserver la saveur unique de l’Amaro Montenegro, Stefano Cobianchi devait créer un contenant tout aussi unique : et c’est ainsi que naquirent les lignes originales et sinueuses de cette bouteille, jusqu’à aujourd’hui inchangées.
Le produit remporta un franc succès, et en quelques années il fut largement distribué et reçut de nombreux prix au cours d’expositions et de foires internationales.
UN SUCCÈS IMMÉDIAT
Au fil des ans, l’Amaro Montenegro a accompagné l’histoire de l’Italie, endossant un rôle emblématique. Dans l’une de ses lettres, Gabriele d’Annunzio la désigna même comme “la liqueur vertueuse”.
En 1906, l’expansion croissante de la production a nécessité son transfert dans une nouvelle usine futuriste à Borgo Panigale.
L’AMARO MONTENEGRO AUJOURD’HUI
Depuis les années 80, le succès de l’Amaro Montenegro s’est consolidé à travers des campagnes publicitaires de grande envergure qui ont su conquérir des millions de consommateurs, communiquant des valeurs de fraternité et de solidarité proches de l’Amaro Montenegro et de sa saveur.
En un peu plus de 120 ans, l’Amaro Montenegro est devenu un symbole de la tradition et de l’excellence italienne.
TEXTE ORIGINAL: 299 mots [URL MASQUÉE]
UNA STORIA SCRITTA CON PASSIONE
LE ORIGINI
La storia di quello che oggi è uno dei principali liquori della tradizione italiana comincia nel 1885, quando Stanislao Cobianchi, dà vita ad una piccola azienda di liquori, andando contro il volere della sua famiglia che lo aveva indirizzato alla carriera ecclesiastica.
In una prima fase, la produzione è rivolta a liquori dai nomi oggi quasi dimenticati come ratafià, alchermes, arquebuse, persico, latte di vecchia e rosolio.
IL NOME
La profonda conoscenza delle erbe aromatiche lo stimolò a creare un prodotto nuovo,un delicato liquore dal color ambra che doveva diventare la specialità della casa.
Dovendo dare un nome al suo nuovo prodotto, Stanislao decise di chiamarlo Amaro Montenegro, in onore di Elena Petrovich Niegos, Principessa del Montenegro e futura Regina d’Italia.
UNA FORMA UNICA
Il sapore unico di questo Amaro aveva bisogno di una bottiglia altrettanto unica: fu così che nacquero quelle linee originali e sinuose rimaste inalterate fino ai giorni nostri.
Il prodotto ebbe grande fortuna: in pochi anni Amaro Montenegro raggiunse una diffusione notevole e ricevette innumerevoli riconoscimenti in Esposizioni e Mostre internazionali.
IL SUCCESSO DA SUBITO
Nel corso degli anni Montenegro ha accompagnato la storia d’Italia, fino ad assumere un vero e proprio ruolo iconico. Fu addirittura Gabriele D’Annunzio, in una delle sue lettere, a definire Amaro Montenegro il «liquore delle virtudi».
Nel 1906, il crescente espandersi dell’azienda richiese il suo trasferimento in un nuovo e avveniristico stabilimento a Borgo Panigale.
MONTENEGRO OGGI
Dagli anni '80 ad oggi, il successo di Amaro Montenegro si è ulteriormente consolidato attraverso campagne pubblicitarie di grande successo che hanno conquistato milioni di telespettatori comunicando valori di amicizia e solidarietà da sempre vicini ad Amaro Montenegro e al suo Sapore Vero.
Ad oltre 120 anni di distanza, Montenegro è oggi un simbolo della tradizione e dell’eccellenza italiana.
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